Quito

Nous découvrons Quito un dimanche, et cela a son importance !

Le dimanche c’ est la fête !

Il n’y a pas de voitures dans le centre ville donc tout le monde est a vélo.

C’est également le rendez-vous pour les artistes en tout genre (musicien, circassien, comédien…) ils prennent possession de la grande place de la capitale et des rues adjacentes pour le plus grand bonheur des habitants. Un petit marché artisanal s’est installé là, les vieux danses dans la rue devant les groupes de musiciens… il fait bon vivre à Quito… surtout le dimanche !

Nous avions un peu plus de temps cette fois-ci pour découvrir la capitale ; une très belle ville, avec une belle architecture et beaucoup d'églises et de places ! 

En parlant d'église, il y a la grosse Basilica del Voto Nacional, sur laquelle on peut monter (escalader?) par de petits escaliers en métal sur le toit pour 2$. C'est assez impressionnant, par la hauteur d'une part (115m de haut), et par la structure en bois et pouvoir voir au dessus des clés de voûtes. Clem ne faisait pas se maline, mais we did it, nous sommes montées jusqu'entre les 2 tours aux horloges (qui ne sont pas à la même heure ...) et nous sommes récompensées par une très belle vue de la ville et sur le Panecillo ( la statue de l'ange (j'ai appris après que c'était la vierge Marie, mais trop tard, pour moi c'est un ange).)

Sinon, dans le centre historique, il y a des places sympas, le trolle (tram) et nous sommes entrées dans le musée du cacao... la tentation à l'état pure. Ni une ni deux (avant de visiter le musée quoi) nous sommes attirées par le comptoir et jour de chance (jeudi), pour un chocolat chaud acheté, le 2ème est offert, alooooors ! Avec un gros gâteau et un cookie, on est bien là (et même qu'on y retournera le lendemain).

Juste avant de prendre le vol de retour, je suis allée chez le coiffeur me refaire une petite fraîcheur, 2,50$ la coupe, une aubaine !

Au départ de Quito, la journée de la loose.

Ca ne se voit pas sur les photos, mais on a eu du mal à arriver aux termes... ils se sont fait désirer.

A coup de trolle, de bus, de marche, de re-bus (pris sur le bord de l'autoroute en attendant avec le maire du village, dédicasse à toi <3 merci ) plus un collectivo, nous arrivons aux termes au bout de 3h de route. Ca parait anodin comme ca, mais j'étais un peu malade du bidou et il nous fallait repartir avant la nuit (qui tombe à 17h). Y'a une chose que l'on a remarqué, c'est que les équatoriens sont ado-rables, MAIS, ils ne savent pas dire qu'il s"ne savent pas" ils préfèrent donner une mauvaise réponse que de dire qu'ils ignorent... donc ça fait perdre pas mal de temps, faut le savoir ! Bref, nous avons fait une croix sur le fait de rester à buller dans les termes pendant 6 heures. En plus, (grosse loose) le temps n'était pas ouf, il faisait froid et il a plu... 

Pour se consoler, nous sommes allées au restau des termes (aie aie les sous) et après ...

nous avons pris un taxi, UN TAXI pour 1h30 de route 50$ (aie aie ++ les sous), dingue.

Mais bon, voilà, y'a des fois où on n'a plus envie de se donner.

Sinon, à part ça, nous c'est parce qu'on a pas réussi à les apprécier vraiment, mais les termes sont troooop beaux, la vue est très belle et c'est niquel.